Étude sur les hauteurs de géopotentiel à 850, 500, 250 et 50 hPa de 1948 à 2003 dans le monde

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Nord de la Sibérie:

Pas de surprise dans le nord de la Sibérie avec une baisse à tous les niveaux et une cassure invisible.

 

Aléoutiennes (entre Russie et Alaska):

Un peu moins au nord mais plus à l'Est, la zone des Aléoutiennes affiche la même tendance.

 

Mongolie:

En Mongolie qui se trouve à une latitude équivalente à celle de la France, on retrouve des géopotentiels en hausse dans la troposphère et une baisse dans la basse stratosphère. Ici la cassure est présente, elle a lieu en 1977.

 

Concernant l'hémisphère nord, l'étude des évolutions des géopotentiel confirme les hypothèses établies plus tôt. Nous avons donc des hausses de plus en plus marquées et concernant des niveaux de plus en plus élevés (transmission de la hausse du niveau 250 au niveau 50 hPa) en allant vers l'équateur. La tendance est contraire en allant vers le pôle avec une baisse des géopotentiels qui se fait d'abord remarquer au niveau 50 hPa dès les moyennes latitudes puis à tous les niveaux aux latitudes supérieures. Ceci est valable quelque soit la longitude mais à des degrés divers.

Penchons nous à présent sur l'évolution de 6 zones de l'hémisphère sud...

 

   

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Mathieu Barbery