Chutes de neige du 1er février 2003 dans l'Oise

La montée vers le mont Pagnotte, point culminant du centre de l'Oise (il y a plus élevé dans l'ouest du département) avec ses modestes 221m. Il se trouve dans la forêt d'Halatte entre Pont Ste Maxence et Senlis. Nous sommes là dans le somptueux domaine des Trois Forêts (Halatte, Chantilly et Ermenonville), endroit chargé d'histoire... Depuis le mont Pagnotte, la tour Eiffel est visible par très bonne visibilité.

En haut du mont Pagnotte...

Dans la forêt d'Halatte...

Le vent de sud (c'est contradictoire) était responsable de cette neige présente sur les troncs d'arbres...

Les enfants des communes les plus proches étaient nombreux dans la forêt et ont bien profité de cette neige... Les petites routes en pentes étaient transformées en pistes de luge...

Voici les pneus qui me permettent (d'autres doivent le faire également mais je ne connais que ceux-ci) de passer pratiquement partout lorsqu'il neige. Les Michelin XM+S100 pour ne pas faire de pub :o). Ils permettent de rouler dans plus de 10cm de neige fraîche non tassée, de monter vers les hautes stations des Alpes sur des routes enneigées avec des "épingles à cheveux", et on peut même se permettre des démarrages en côte (testé ce jour là avec succès)... Mais ce n'est pas parce que l'on a des pneus neige qu'on peut jouer les "stars du volant". En restant prudent il n'y a généralement pas de problème!

En retirant l'espace entre l'extrémité de la règle et le 0, on arrive à 6.5cm ;-) Les chutes de neige seront restées faibles à modérées. Nul doute qu'avec une intensité plus forte pendant ces 6 heures, l'épaisseur aurait largement dépassé les 10cm. Mais généralement dans les villes situées en plaine, l'épaisseur ne dépassait pas 2cm, là encore à cause (ou grâce, ça dépend des goûts) de l'effet urbain principalement.

Et pour terminer une dernière photo de la forêt enneigée...

Vous pouvez enfin consulter les relevés de ma station Davis Monitor 2 à Rantigny pour cette journée du 1er février en cliquant ici.

Dossier mis en ligne le 8 février 2003.

Mathieu Barbery

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